Description
En 1887, Alfred Barnard, le tout premier journaliste du whisky, de passage sur l’île d’Islay pour recenser les distilleries d’Écosse, goûte un Lagavulin assez âgé qui lui fait forte impression. « L’un de ces rares whiskies qui méritent d’être bus seuls», c’est-à-dire en single malt, écrit-il
Il le décrivit à l’époque comme « exceptionnellement fin » et déclara que Lagavulin était « une des seules distilleries à pouvoir produire un single malt de qualité ».
Ce 8 Ans d’âge colle au caractère de la distillerie comme une épure.
« On n’avait pas envie de faire un “whisky de placard”, on voulait que les gens ouvrent la bouteille et la boivent », insiste Georgie Crawford, qui dirige la distillerie. La notion d’âge est parfois un hommage.